jusqu'à ce que le soleil disparaisse
séchés pas ses reflets malsains
je les regarderais fondre
les corps chagrin
les faciès grêlés par les rayons
les pillards des raisons
les êtres délétères
pires que les démons
aucune pluie ne viendra
a leur aide, seule
l’éternelle sécheresse
comme leur âme
aucune nuit ne viendra
rafraîchir leurs os
déshydratés, seule
la lumière torride
aucun espoir
ne viendra à leur secours
un immense vide de charité
crépitez, dictateurs infâmes
ferool
Assistente editor: Hugo de Aguiar
deaguiar.hugo@gmail.com
Subscrever:
Enviar feedback (Atom)
Sem comentários:
Enviar um comentário